Shuufleur (![[personal profile]](https://www.dreamwidth.org/img/silk/identity/user.png)
shuufleur93) wrote2020-02-29 02:45 pm
shuufleur93) wrote2020-02-29 02:45 pm
Lecture : La Nuit des temps de René Barjavel
Masterpost | #30 - Un livre que vous avez acheté chez un bouquiniste ou sur une brocante
Résumé : Dans l'immense paysage gelé, les membres des Expéditions Polaires françaises font un relevé du relief sous-glaciaire. Un incroyable phénomène se produit : les appareils sondeurs enregistrent un signal. Il y a un émetteur sous la glace... Que vont découvrir les savants et les techniciens venus du monde entier qui creusent la glace à la rencontre du mystère ?
Choix du livre : Je me suis lancée dans la lecture des “classiques” de la plupart des genres, et La nuit des temps fait partie de ceux-là.
Choix du livre : Je me suis lancée dans la lecture des “classiques” de la plupart des genres, et La nuit des temps fait partie de ceux-là.
Avis : Ça faisait un moment que je l'avais ma PAL, il était temps que je le lise. Eh ben, je n'ai pas été déçue. Surprise, perplexe parfois mais pas du tout déçue. Et je l'ai lu en 11 jours !
Ce livre est un peu raconté comme un reportage, surtout la première partie, et offre une vision d'ensemble. J'ai beaucoup aimé la plume de Barjavel, avec toutes ses énumérations, et ces images qu'il provoque avec les bons mots.
En commençant le livre, je pensais qu'il allait se concentrer sur un des scientifique mais au final, pas vraiment parce qu'il était un petit rouage d'un ensemble.
J'ai beaucoup aimé le principe de retrouver des vestiges d'une civilisation bien plus avancée et futuriste que la notre datant de milliers d'années. C'est du post-apocalypse qui est déjà passé et résolu. Au lieu de voir la civilisation se détruire, on la voit renaître d'une certaine manière.
On peut dire que le roman est divisé en deux ; la découverte des vestiges, et la découverte de la vie d'Eléa et Païkan. J'ai trouvé la première partie passionnante, hyper facile à lire, et j'avais juste envie de découvrir le secret que cette expédition avait découvert. J'ai eu un peu plus de mal à entrer dans la deuxième partie mais une fois dedans, elle était presque à la hauteur de la première partie.
Parfois, il a fallu que je me rappelle que ça a été écrit dans les années 60 mais globalement, je ne trouve pas que le livre est si vieilli que ça.
Bon, l'auteur a bien pris le temps de décrire physiquement Eléa plusieurs fois (on le sait que ses seins sont magnifiques, on peut passer à autre chose ?) alors que son compagnon, Païkan, n'a eu droit qu'à un simple "il est beau". Le deux, trois scènes de sexe, bien que pas détaillées, m'ont surprise (d'ailleurs, j'ai eu un petit coup de mou à ce moment-là de la lecture), et je pense qu'il aurait pu trouver une autre manière de montrer l'amour intense et dévorant qu'Eléa et Païkan avaient l'un pour l'autre. J'ai eu du mal à y croire au début, le trouvant artificiel, et heureusement que dans la deuxième partie, on a droit à une exploration plus profonde leur relation.
Je ne m'attendais pas à la fin, même si j'aurais pu la deviner avant. Cette fin, qui ressemble la fin d'une autre œuvre bien connue, m'a touchée plus que je ne le pensais aux premiers abords.
En bref, c'était une bonne lecture.
Ce livre est un peu raconté comme un reportage, surtout la première partie, et offre une vision d'ensemble. J'ai beaucoup aimé la plume de Barjavel, avec toutes ses énumérations, et ces images qu'il provoque avec les bons mots.
En commençant le livre, je pensais qu'il allait se concentrer sur un des scientifique mais au final, pas vraiment parce qu'il était un petit rouage d'un ensemble.
J'ai beaucoup aimé le principe de retrouver des vestiges d'une civilisation bien plus avancée et futuriste que la notre datant de milliers d'années. C'est du post-apocalypse qui est déjà passé et résolu. Au lieu de voir la civilisation se détruire, on la voit renaître d'une certaine manière.
On peut dire que le roman est divisé en deux ; la découverte des vestiges, et la découverte de la vie d'Eléa et Païkan. J'ai trouvé la première partie passionnante, hyper facile à lire, et j'avais juste envie de découvrir le secret que cette expédition avait découvert. J'ai eu un peu plus de mal à entrer dans la deuxième partie mais une fois dedans, elle était presque à la hauteur de la première partie.
Parfois, il a fallu que je me rappelle que ça a été écrit dans les années 60 mais globalement, je ne trouve pas que le livre est si vieilli que ça.
Bon, l'auteur a bien pris le temps de décrire physiquement Eléa plusieurs fois (on le sait que ses seins sont magnifiques, on peut passer à autre chose ?) alors que son compagnon, Païkan, n'a eu droit qu'à un simple "il est beau". Le deux, trois scènes de sexe, bien que pas détaillées, m'ont surprise (d'ailleurs, j'ai eu un petit coup de mou à ce moment-là de la lecture), et je pense qu'il aurait pu trouver une autre manière de montrer l'amour intense et dévorant qu'Eléa et Païkan avaient l'un pour l'autre. J'ai eu du mal à y croire au début, le trouvant artificiel, et heureusement que dans la deuxième partie, on a droit à une exploration plus profonde leur relation.
Je ne m'attendais pas à la fin, même si j'aurais pu la deviner avant. Cette fin, qui ressemble la fin d'une autre œuvre bien connue, m'a touchée plus que je ne le pensais aux premiers abords.
En bref, c'était une bonne lecture.